jeudi 20 octobre 2011

Avertissement

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Je reçois un nombre croissant de documents et de lettres dans lesquels s'exprime l'exaspération ressentie par nombre de Français devant les revendications et les provocations d'un Islam conquérant, arrogant, violent et même prédateur. A plusieurs reprises dans mes billets, j'ai signalé qu'il ne fallait pas généraliser, qu'à côté de ces insupportables personnages, il y avait des musulmans sincères, pieux et paisibles que nous devons respecter. Il n'empêche que les dits personnages continuent de tenir dans l'espace public et les médias une place qu'ils ne méritent pas et que la complaisance à leur égard augmente notre exaspération vis-à-vis de l'islam (petit i) en général : c'est la plus mauvaise manière de faire même si ça permet de refaire de coup mitterrandien de "Touche pas à mon pote"..
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Un correspondant alsacien m'envoie copie de la lettre ouverte qu'un officier de gendarmerie, le major PINON, envoie à un certain monsieur AOUNIT qui se plaint du racisme et de l'islamophobie des Français, dont il semble bien faire partie.
Je vous la communique avant de faire un commentaire :

"Monsieur,

Vous avez organisé récemment, en tant que président du MRAP, un colloque à l'Assemblée nationale intitulé "Du racisme anti-arabe à l'islamophobie". Vous y avez dénoncé, en France, " les mosquées souillées, les discriminations à l'emploi et au logement, les appels au meurtre, les violences et agressions à l'endroit des populations et des lieux de culte musulmans. Vous avez montré du doigt l'impunité dont bénéficient les auteurs de ces délits, appelant à un réveil de l'opinion publique, un sursaut des institutions (Police, Justice, Education nationale, etc.), une mobilisation des grandes consciences intellectuelles. Vous avez raison ! De plus en plus de Français sont racistes. De plus en plus en ont par-dessus la tête de ce qu'ils appellent (à tort) l'invasion islamo-maghrébine. De cet afflux de populations inassimilables qu'ils croient (à tort) être le ressort principal de la délinquance et de la criminalité. De plus en plus sont épouvantés (à tort) par l'afflux de populations qui, ayant chassé l'occupant raciste des territoires qu'il exploitait, ont rendu ces terres à l'heureux état de nature mais sont contraintes de chercher, auprès de l'ancien colonisateur raciste, les remèdes à la misère provoquée par la décolonisation. De plus en plus de racistes ont (à tort) des idées de violence en entendant sur les radios les poésies du groupe afro-maghrébin Sniper qui chante, par exemple :

"La France nous ronge, le seul moyen de se faire entendre est de brûler des voitures. La France est une garce. On nique la France. " Oui, Monsieur Aounit, la triste vérité est là : les racistes n'entendent rien à la rude poésie des cités et ils en ont par-dessus la tête d'entendre des hexagonoïdes chanter qu'ils niquent la France, et qu'ils baisent leurs mères. C'est sûr qu'il y a quelque racisme à ne pas accepter ces coutumes de baiser notre mère et de niquer notre pays, mais c'est ainsi, Monsieur Aounit : les racistes ne sont pas tolérants. Et ils ont tort. Vous avez raison ! Mais comment ces petits blancs arriérés seraient-ils assez évolués, ouverts, libéraux et modernes pour accepter que des populations qu'ils ont accueillies, nourries, soignées et enseignées leur crachent leur haine et leur mépris à la figure ? Vous faites bien de dénoncer ce racisme-là en France dans la Chambre des députés de cette République qui vous a fait tant de mal. La dignité de l'endroit ajoute à la force de votre réquisitoire. Mais vous feriez mieux encore en allant le prononcer là-bas, au bled. C'est sur place, chez eux, alors qu'ils sont encore libres, qu'il faut alerter les milliers d'Afro-musulmans et d'islamo-maghrébins qui s'apprêtent à céder au mirage du RMI, de la Sécu, des allocs, et à basculer dans le piège affreux que leur tendent les racistes français. Monsieur Aounit, dites-le à vos frères, à vos cousins, à vos femmes, à vos enfants, à vos voisins, à tous ceux du bled et de la brousse: la France raciste ne veut pas d'eux parce que dans son aveuglement raciste, elle les regarde (à tort) comme des envahisseurs et des prédateurs. Dites simplement cette sinistre vérité aux vôtres Monsieur Aounit. Ne les laissez pas se jeter dans la gueule du loup. Il est de votre devoir de protéger ces malheureux contre cette effrayante menace. Les laisser venir, serait se rendre coupable de non-assistance à personnes en danger.

D'ailleurs vous-même, Monsieur Aounit, vous et tous ceux qui comme vous, êtes condamnés à vivre dans cet abominable pays raciste, n'hésitez pas: brisez vos chaînes, secouez la poussière de vos sandales et quittez cet enfer. Ne faites pas plus longtemps aux racistes le cadeau de votre enrichissante présence. Ne soyez plus le gibier de ces chasseurs impitoyables qui attaquent vos mères dans le métro, violent vos filles dans les caves, pillent vos supermarchés, brûlent vos voitures dans vos cités, vendent de la drogue à vos enfants. Ne leur laissez aucun homme à discriminer, aucune femme à insulter, aucun enfant à battre, aucune mosquée à souiller. N'hésitez pas : vengez toutes ces années de terreur, de souffrance, d'humiliation, d'exploitation qu'ils vous ont infligée : privez-les de la chance que vous représentez. Et puis, pourquoi vous gêner ? En partant, emmenez vos amis.... Les grandes consciences intellectuelles, les militants immigrationnistes, les journalistes amis, D'abord cela leur épargnera l'insupportable peine de vivre sans vous, ensuite cela privera la France raciste de la formidable force intellectuelle qui fait son rayonnement dans le monde entier. Ils seront bien punis, les racistes ! Songez-y, Monsieur Aounit: ils auront l'air de quoi les Le Pen, les Gollnisch, Les Hortefeux, Besson les militants du FN et les électeurs de tout ce monde quand, le dernier bateau ayant franchi la ligne d'horizon, l'ultime avion s'étant évanoui dans l'azur, la dernière camionnette étant passée de l'autre côté de la frontière, ils découvriront qu'ils sont désormais entre eux ? Entre racistes. Tout seul. Ah, on voudrait voir ça ! Rien que pour le plaisir.
Cordialement
 
Major Alain PINON Chef de l Unité des Moyens Aériens 29, rue Henry FARMAN Paris Tél. : 01.53.98.20.05 / Fax. : 01.53.98.20..12 Portable : 06 88 21 67 70 Mail : alain.pinon@interieurgouv.fr"
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Voici mon commentaire :
Il faut vraiment que cet officier de gendarmerie en ait vu pour oser, publiquement, dire son fait à cette frange de la population musulmane qui déshonore et sa foi et ses pays d'origine. Il faut vraiment que la France soit tombée bien bas pour que ses représentants acceptent d'organiser dans le temple de la soi-disant démocratie un Colloque, sous la houlette du MRAP et de monsieur AOUNIT, un Colloque destiné à combattre le racisme. Il faut aussi que les imams et recteurs de mosquées soient aveugles ou lâches pour accepter que certaines de leurs ouailles se comportent dans leur pays d'accueil comme en pays conquis. Il faut enfin que les responsables politiques comprennent une chose : s'ils ne mettent pas fin, par tous les moyens, et j'ose dire y inclus militaire, à ces bandes qui terrorisent les quartiers, vendent de la drogue, agressent et volent les passants, alors il y aura une réaction qu'ils ne pourront pas maîtriser. Cette réaction sera violente, et elle pourrait bien prendre l'allure d'une guerre civile.
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J'ai également reçu un très beau diaporama décrivant l'attaque de la flotte française par les Anglais, à MERS-EL-KEBIR,  et le triste état dans lequel, une fois l'Algérie indépendante, les natifs ont mis le cimetière où reposaient les 1297 marins tués pendant l'attaque ; croix mis à bas, profanation des tombes, dispersion des ossements de l'ossuaire où reposaient les restes de marins que l'on n'avait pu identifier. Le cimetière a été remis en état, mais au lieu et place des croix, on a mis des cubes de béton ! Lâcheté, incroyable lâcheté, honte et déshonneur.
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J'ai aussi reçu copie d'une violente diatribe de Me COLLARD contre l'islam. Je ne la publierai pas ; si certaines de ces affirmations sont justes, d'autres sont loin de l'être, et je n'aime pas l'amalgame.
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Enfin, comment ne pas avoir une pensée pour la famille de Marie DEDIEU ? Enlevée par des miliciens islamistes somaliens, Marie est morte loin de son pays. Elle passait de paisibles vacances sur une île au large du KENYA. Elle y a été capturée. Les islamistes ne lui ont pas permis d'emmener le fauteuil roulant dans lequel elle se déplaçait, ni les médicaments qui servaient à traiter son cancer et sa maladie cardiaque. Ils ont, semble-t-il, refusé de lui administrer ceux que les pouvoirs publics avaient fait parvenir (on ne sait comment, mais il fallait bien qu'ils connussent et son lieu de détention et l'affiliation de ses ravisseurs). L'Islam (grand I) de ces barbares en prend un coup. Et nous aimerions que les responsables du Culte Musulman Français aient un mot de compassion pour Marie et les siens. Il semble qu'il tarde à venir. Quant aux ravisseurs, les "Shehabs", voilà de courageux guerriers ; c'est qu'il faut de l'audace pour s'attaquer à une infirme au nom de sa foi. En vérité, on se demande s'ils ne se drapent pas dans le drapeau de l'Islam pour cacher leur rapacité, leur haine et leur inhumanité.
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Voilà pourquoi enfin :
Nous de devons pas accepter de minarets sur notre sol (comme les Suisses), nous ne devons pas financer la construction de mosquées (on ne finance pas la construction des Eglises ou des Temples avec l'argent public), ni permettre leur financement par des pays étrangers, et nous devons nous opposer de toutes nos forces au vote des étrangers, je dis bien étrangers. Il y a de notre liberté et de la permanence de notre patrie. Cela n'a rien à voir avec l'islamophobie, mais avec le bon sens. Oui aux hommes de paix et de bonne volonté, non aux fous et aux violents.

7 commentaires:

tippel a dit…

le major PINON est à la retraite.
Marie Dedieu, était une féministe qui avait élu résidence de longue date sur l'île kenyane de Manda. Dans les années 1970, elle avait été une militante engagée du mouvement féministe, En 1971, elle avait signé le fameux "Manifeste des 343" qui bravait l'interdit de l'avortement. Elle a été directrice de publication du journal "Menstruel" lancé par le M.L.F, Elle vivait avec John Lepapa, un Kényan de 39 ans, qui devait l’épouser, elle disposait d'un appartement, à Paris. Et rentrait juste quand elle a été enlevée.

tippel a dit…

cher philippe Poindron,
vous devez savoir que la violente diatribe de Me COLLARD contre l'islam et que vous citez, et un FAUX. Une plainte est en cours.

tippel a dit…

LISE BONNAFOUS, martyre oubliée du blog :

Le message désespéré de Lise Bonnafous, était celui-ci: « Il faut refonder, à tout prix, une nouvelle et authentique école de la République, celle où primaient les valeurs du civisme et du travail; celle où le professeur était au centre de tout; celle où l'enfant du peuple pouvait devenir fils de roi", a écrit le père dans un mail adressé au Midi Libre et publié mercredi. Il faut beaucoup d’énergie devant une classe pour être professeur et garder le fil d'un cours et son charisme pour le tenir. LUC CHATEL est probablement un des responsables de cet affreux drame. Beaucoup de chefs d’établissements sont soit aux ordres de leur hiérarchie, l’académie ou le rectorat qui ne veulent pas de vagues et étouffent tous les problèmes de ce qu’on appelle « les incivilités » et ne soutiennent jamais les professeurs qui veulent faire leur métier avec passion, ou les chefs d’établissements idéologues proches du SNES, syndicat enseignant majoritaire, courroie de transmission du parti socialiste qui fait régner la terreur SOCIALISTE avec la FCPE pour entretenir leur électorat. Prise entre une politique et une idéologie qui se retrouvent pour garder le pouvoir, chère LISE, tu n’avais aucun espoir.

Roparzh Hemon a dit…
Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.
Roparzh Hemon a dit…

Cher tippel,

pour une fois je ne suis pas d'accord avec vous. Si, comme vous dites, Mme BONNAFOUS avec la vocation enseignante, qu'est-ce-qui l'empêchait de travailler dans une école libre?
De l'aveu général, l'Éducation Nationale est dans une voie sans issue et ce n'est qu'en
dehors d'elle que l'éducation pourra être sauvée en France.

Se suicider plutôt que de changer d'employeur me paraît être un signe de déséquilibre mental plutôt que de conviction allant jusqu'au martyre. Qualifiriez-vous les suicidés de France Télécom de "martyres" ?

Certes, cher tippel, l'EdNat, le SNES, les FCPE et autres merveilles que vous mentionnez
ont une responsabilité écrasante dans ce qui est arrivé à la pauvre Mme BONNAFOUS. Mais que cette dame ait la vocation enseignante, j'en doute au vu de ses actions.

M. Poindron, je serais curieux de savoir si votre avis penche plutôt vers le côté de tippel
ou vers le mien.


Amicalement,

E. D.

tippel a dit…

Cher ami rhoparzt je comprends bien votre étonnement surtout si vous ne côtoyez pas le quotidien de prof de collèges et de lycée.

A) Quitter l’éducation nationale est possible bien sûr, mais il faut accepter de perdre 200 à 300 euros par mois, accepter une retraite inférieure au régime des fonctionnaires. Ceci étant, les problèmes que vivent les enseignants qui refusent de « s’en foutre » ne sont pas effacés pour autant par les écoles privées (sauf celles hors contrats) qui sont touchées à présent par les problèmes de société que nous dénonçons.
B) Sur le suicide, et pour rester sur le domaine de l’enseignement, il est très difficile de résister aux insultes du style « Je m’en bas les cou… » de votre cours » « Quand allez-vous faire une dépression ? ». « Vous me faites chier » ou que vous recevez un coup de pied dans la cheville, que ces insultes et coups ne sont pas ou si peu sanctionnés par la hiérarchie. Quand des élèves sont mandatés par cette même hiérarchie pour espionner votre cours, et j’en passe, alors il faut, soit s’en foutre du métier que l’on pratique, soit se sauver très loin et accepter que l’on soit devenu soudainement idiot.
Il est important, pour ne pas craquer, lorsque l’on rentre de cet enfer de folie le soir, d’avoir le soutien fort de sa famille afin de ne pas sombrer dans un désespoir suicidaire. (Je crois que LISE vivait seule)
Il n’y a rien de pire quand vous avez raison que d’entendre certains collègues fayots et la hiérarchie vous dire que vous avez tort. Cela peut devenir une descente aux enfers.

tippel a dit…

Suite: Pour France Telecom, je partage probablement votre point de vue, je ne qualifierais pas les suicidés de France Télécom de "martyres" ayant bien connu la maison de 1972 à 1998.