mercredi 17 octobre 2012

Une bonne adresse électronique : polemia

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Un très cher ami d'Alsace m'envoie un lien vers un article qui explique comment fonctionnent ces curés laïcs que sont les journalistes bien-pensants, en général de gauche. Voici ce lien :
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Ceci n'est pas un billet, mais un conseil pressant. Nous en avons assez de cette morale journalistique qui n'a qu'un but : plaire aux actionnaires, en général des grossiums de la finance (ROTSCHILD, Matthieu PIGASSE, par exemple), pour alimenter leur canard en lecteurs, et donc en publicité, et donc en argent sonnant, trébuchant et puant de bêtise et de complaisance. Nous devons résister par la réflexion, l'ouverture d'esprit alimentée par une pensée ferme et le discernement, et ne pas laisser les imbéciles (au sens de BERNANOS) dire n'importe quoi dans leurs follicules.
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A tout à l'heure ; on parlera de la très grande cohérence nucléaire des Princes qui nous gouvernent. Vous allez vous en taper le derrière par terre.
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2 commentaires:

tippel a dit…

Comme le dit Jean-Yves le Gallou Votre devise doit être :" feu sur le quartier général du
conformisme, feu sur les grands médias de l’oligarchie."
On compte sur vous et votre plume Cher Philippe Poindron pour mettre aussi votre coup de balai dans ce panier de crabe que sont les journalistes ventriloques du parti socialiste.

tippel a dit…

Le général de gaulle à Alain Peyrefitte ministre de l’information :
« Peyrefitte, je vous supplie de ne pas traiter les journalistes avec trop de considération. Quand une difficulté surgit, il faut absolument que cette faune prenne le parti de l’étranger, contre le parti de la nation dont ils se prétendent pourtant les porte-parole. Impossible d’imaginer une pareille bassesse – et en même temps une pareille inconscience de la bassesse. Vos journalistes ont en commun avec la bourgeoisie française d’avoir perdu tout sentiment de fierté nationale. Pour pouvoir continuer à dîner en ville, la bourgeoisie accepterait n’importe quel abaissement de la nation. Déjà en 40, elle était derrière Pétain, car il lui permettait de continuer à dîner en ville malgré le désastre national. Quel émerveillement ! Pétain était un grand homme. Pas besoin d’austérité ni d’effort ! Pétain avait trouvé l’arrangement. Tout allait se combiner à merveille avec les Allemands. Les bonnes affaires allaient reprendre. Bien sûr, cela représente 5% de la nation, mais 5% qui, jusqu’à moi, ont dominé. La Révolution française n’a pas appelé au pouvoir le peuple français, mais cette classe artificielle qu’est la bourgeoisie. Cette classe qui s’est de plus en plus abâtardie, jusqu’à devenir traîtresse à son propre pays. Bien entendu, le populo ne partage pas du tout ce sentiment. Le populo a des réflexes sains. Le populo sent où est l’intérêt du pays. Il ne s’y trompe pas souvent. En réalité, il y a deux bourgeoisies. La bourgeoisie d’argent, celle qui lit Le Figaro, et la bourgeoisie intellectuelle, qui lit Le Monde. Les deux font la paire. Elles s’entendent pour se partager le pouvoir. Cela m’est complètement égal que vos journalistes soient contre moi. Cela m’ennuierait même qu’ils ne le soient pas. J’en serais navré, vous m’entendez ! Le jour où Le Figaro et Le Monde me soutiendraient, je considérerais que c’est une catastrophe nationale ! »