mardi 5 novembre 2013

Bretagne toujours et maintenant les bonnets verts, deuxième billet du 5 novembre 2013

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Sans doute ai-je déjà donné dans un ancien billet cet extrait de Diagnostic. Essai de physiologie sociale que l'on doit à notre cher Gustave THIBON. Je ne cesse de lire et relire ce penseur, ignoré de l'intelligentsia parce que libre et détaché de ce cénacle d'imbéciles (au sens de BERNANOS) qui, à PARIS, prétendent gouverner nos pensées et nous imposer ce qui est bien et ce qui est mal. Gustave était vigneron, il travaillait de ses mains, comme tant d'autres penseurs (Marcel LEGAUT, LANZA del VASTO) méprisés par les imbéciles sus-cités, parce qu'ils ne sont pas du cénacle des mangeurs de petits fours dans les salons de la République, des assiégeants des antichambres des éditeurs, ou des consommateurs au bar du Palais Bourbon. Quand on voit la bassesse de comportement, la vulgarité des idées, l'arrogance de ces élites, et surtout le peu d'exemplarité qu'elles offrent à leurs concitoyens, alors on peut comprendre ce que Gustave THIBON met sur les lèvres du Peuple s'adressant aux Grands en général, et au plus grand d'entre eux en particulier.
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"Pressens-tu le mal que tu m'as fait ? La justice et l'amour m'ont menti par ta bouche. Tu m'as amputé de la meilleure partie de moi-même : ma confiance en toi, et en tout l'ordre humain et divin que tu représentais. Car tu étais aussi pour le peuple le support et le messager du ciel, et l'image de Dieu s'est pourrie en moi avec ton image. Par ta faute, je me suis senti seul et orphelin, j'ai perdu ce sentiment d'une grande réalité supérieure à moi et qui me portait, me gardait et nourrissait dans mon coeur une résignation sans amertume et une espérance sans fièvre ; j'ai cessé de me sentir dépassé, je n'ai plus rien vu au-dessus de moi-même - au-dessus de ma platitude et de ma faiblesse, si ce n'est le mensonge.[...]."
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Dès lors, vous comprendrez les légitimes réactions du Peuple français contre ces menteurs. La justice et l'amour lui ont menti en effet par leur bouche. Le mal est irréparable. El violence qui est en train de monter en France contre eux n'est que le reflet d'un désespoir sans fond. En voilà des exemples.
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Du Salon beige, cette photo : à MORLAIX.


Voir aussi la vidéo à l'adresse
http://www.dailymotion.com/video/x16s6lr_tilly-sabco-le-portail-de-la-sous-prefecture-de-morlaix-a-terre_news
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Du site des contribuables associés, cette photo.

Un portique d'écotaxe est détruit en BRETAGNE.


bruno campels


Sur le site Flash Actu du Figaro, cette nouvelle.

Constatant le succès des bonnets rouges, les opposants à l'augmentation de la TVA sur les transports publics ont créé les bonnets verts. Et espèrent un effet boule de neige.

La fronde des bonnets rouges fait des émules. Alors que les couvre-chefs fournis par Armor-Lux aux détracteurs bretons de l'écotaxe sont devenus le symbole de la révolte de la filière agroalimentaire, les bonnets verts surfent sur leur succès. Utilisés par les opposants à la hausse de TVA des transports publics, ils cherchent à faire reculer le gouvernement sur cette question, tout comme celui-ci l'a fait sur l'écotaxe.
Dans un post Facebook publié sur leur groupe, les bonnets verts réclament «la suspension de la TVA à 10%» au motif que «les transports en commun sont des services publics de première nécessité». La TVA sur les transports publics doit pâtir au 1er janvier de la révision des taux, passant de 7 à 10%. «Cette décision touche les revenus les plus modestes, les plus fragiles», s'offusquent les bonnets verts. Qui se font même menaçants lorsqu'ils demandent s'il faut que «les usagers de ces transports collectifs en viennent à des actions musclées ou de blocage pour faire reculer le gouvernement sur une mesure qui s'apparente à une injustice sociale».







1 commentaire:

tippel a dit…

le mercredi 13 novembre à 19h30 au siège de l'UNI

Vous pourrez écouter les interventions du député Yannick Moreau, en charge des questions de justice à l'UMP, et du délégué général de l'Institut pour la Justice (IPJ), Alexandre Giuglaris.

S'en suivra un moment d'échange avec le public et les intervenants.

rendez-vous au siège de l'UNI à 19h30, au 34, rue Emile Landrin à Boulogne (92100).
Métro Ligne 9, Marcel Sembat (sortie 6)