lundi 4 novembre 2013

Nouvelles de la Résistance : il n'y a pas qu'à Quimper

La France est en ébullition, le chômage augmente, des usines ferment, nous sommes envahis par des immigrés clandestins, on se zigouille allègrement dans les rues de MARSEILLE, on manifeste à QUIMPER et ailleurs, les impôts deviennent insupportables et monsieur PEILLON n'a rien de plus urgent que d'intimer aux recteurs l'ordre d'introduire les représentants les plus actifs du mouvement LGBT dans nos écoles, et d'y promouvoir, avec la théorie du genre, l'homosexualité. C'est un véritable obsédé du sexe enfantin. Nous ne marchons pas. Et s'il le faut, nous organiserons des cours dans nos maisons pour que nos enfants soient soustraits à l'influence délétère de ce ministre et de ses subordonnés. Je suis tout disposé à donner bénévolement des cours de biologie aux élèves de 2de, Ière et terminale à un niveau qui vaudra celui des enseignants des Lycée, obligés ou heureux d'obéir à des consignes qui les chagrinent ou les enchantent ; c'est selon. Les informations dont je dispose me donnent à penser que c'est hélas le deuxième terme de l'alternative qui est le bon. En tout cas, monsieur PEILLON doit savoir que plus il prétend imposer ses folies, plus nous voyons ce qui est juste et clair, et plus nous prendrons des mesures pour lui résister. Il ne les a pas encore toutes vues !
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Voici  ce qu'il en est : monsieur PEILLON

 ---a invité les recteurs “à relayer la campagne de communication relative à la ‘Ligne Azur’ », un service de « SIS Association » qui diffuse la brochure « Tomber la culotte », un guide promotionnel et pornographique de l’univers sexuel des lesbiennes. 
--- préconise de « favoriser les interventions en milieu scolaire » des associations liées à la nébuleuse LGBT.
--- a affirmé que l’État « doit promouvoir dès l’école primaire l’éducation à la sexualité ». Il souhaite donc s’en prendre à nos enfants dès l’âge de 6 ans oubliant que ce sont les parents les premiers éducateurs !

Le programme de ce ce fol ministre est très révélateur de la manière dont il envisage l'intervention de l'Etat dans l'éducation des enfants.

Dans un courrier adressé le 4 janvier 2013 à tous les recteurs d’académie, M. Peillon, en effet, a déclaré vouloir “s’appuyer sur la jeunesse pour changer les mentalités”.
Il ne s’agit pas de vains mots. C’est bien la volonté totalitaire “d’arracher l’enfant au déterminisme familial” au profit des hussards noirs de la République.
Comment va-t-il mettre en place ce plan infernal ?
Dans ce même courrier du 4 janvier 2013 le ministre de l'Education nationale nous donne la réponse… Il invite les recteurs...
... “à relayer la campagne de communication relative à la ‘Ligne Azur’ d’écoute pour les jeunes en questionnement à l’égard de leur orientation ou leur identité sexuelles”.
Cette Ligne Azur n’est pas simplement un service “à l’écoute” des jeunes mais s’avère être une tentacule du réseau militant LGBT destinée à faire la propagande des pratiques homosexuelles.
La bibliographie et la filmographie du site de la Ligne Azur confirment ce militantisme.
Un lien vous donne l’accès au site de “SIS association“, où l’on peut télécharger la brochure “Tomber la culotte” à propos de “la santé sexuelle des lesbiennes, bisexuelles et des femmes ayant des rapports sexuels avec des femmes”.
Le message est sans ambiguïté : les pratiques lesbiennes sont banales et donc sujettes aux mêmes soucis de santé que les autres.
Vous pouvez réagir dès maintenant.
Notre objectif est d'inonder de CARTONS ROUGES le bureau de M. Peillon.
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Par ailleurs, dans la ligne d'une résistance qui s'organise, voici une annonce intéressante pour les Nantais.


15 novembre à Nantes : Le Printemps des Libertés avec Béatrice Bourges.


Du salon Beige, cette information :

Nouvelle atteinte à la liberté hier soir à Paris.

Témoignage d'une Sentinelle concernant la soirée d'hier, 2 novembre :
"Nous étions hier soir une bonne vingtaine de Sentinelles devant le domicile présidentiel rue Cauchy (22h40), en réel mode "sentinelle" c'est-à-dire espacés les uns des autres, sans slogan ni trouble à l'ordre public. Nous sommes arrivées par vagues successives ; il y avait outre les deux policiers en civil, une fourgonnette de police déjà sur place.
Nous étions espacés, silencieux. Il est vrai que quatre d'entre nous avaient un bonnet rouge, et on devinait un sweat LMPT, mais ce ne sont que des vêtements (!) il n'y avait ni inscription écrite ni revendication exprimée.
Moins de dix minutes après notre arrivée un escadron de Gendarmerie Mobile et une Cie de CRS (environ 100 hommes au total) nous ont regroupés sur un seul trottoir, bien serrés et nous ont parqués 100 m plus loin. Refus d'explications, refus de contrôler nos identités. Attente... Un commissaire arrive. Je lui présente mes papiers. Il fait relever mon identité, me dit que je vais pouvoir partir, puis après un échange à la radio se ravise. Fait contrôler TOUTES les identités.
Veut un "volontaire pour se désigner responsable et être auditionné". Refus collectif. Alors nous serons tous auditionnés (!) Au commissariat, nouveau contrôle de TOUTES les ID plus d'une heure après interpellation. Il nous relâchent vers 1h00 du matin, sauf deux en GAV. Sommes en train de préparer plainte collective avec avocat". (Voir photos ci-dessous.)

Les photos des sentinelles sous les fenêtres de François Hollande.

La nuit dernière, 20 sentinelles, dont certaines portaient des bonnets rouges, se sont retrouvées devant l'appartement de François Hollande et de sa première concubine, à Paris (témoignage ici) :





Sentinelle en bonnet rouge devant la Préfecture de CAEN. 



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