mardi 12 novembre 2013

Plus qu'un bouquet, une couronne mortuaire ! Deuxième billet du 12 novembre 2012

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Chers amis, devant la désinformation dont nous sommes l'objet, je vous demande instamment de regarder la vidéo dont je donne l'adresse à la fin de ce billet. Ce 11 novembre marque un tournant dans ce qui sera le point de départ d'un départ annoncé qui se fera dans la honte, l'abandon et le déshonneur, quel qu'en soit le délai.

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Le salon beige communique :
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Manuel Gaz accueilli devant RMC.

"Le ministre de l'Interieur Manuel Valls a été accueilli devant le siège de RMC ce matin par une dizaine de manifestants portant bonnets rouges et pancartes sur lesquelles figurait l'inscription «Hollande m'a tuer (sic)». Il s'agissait de patrons de sociétés de location de voitures à doubles commandes.

Depuis plusieurs semaines, ces entrepreneurs issus des cités et réunis sous la bannière des «bonnets rouges de banlieue», multiplient les actions pour abroger un décret mettant en danger leur activité."
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La Manif Pour Tous a accueilli Jean-Yves Le Drian à Compiègne, le 11 novembre.


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Les "salopards" en sentinelles

... devant le ministère de l'Injustice :


Commentaire du salon beige : La salopette rose expose-t-elle aux arrestations arbitraires comme le bonnet rouge ? A suivre...
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Coller des affiches « Hollande démission » serait un outrage au chef de l'Etat :

Lu sur medias-presse.info :
"On sait désormais le motif de la mise en garde-à-vue de quatre jeunes Orléanais qui collaient des affiches « Hollande démission » : outrage au président de la République. La loi d’offense au président de la République a été abrogée en août 2013 mais l’outrage continue de rester. Voilà qu’encore une fois Hollande emboîte le pas à Sarkozy.  Ce dernier avait réactivé le délit d’offense à la suite de l’affaire Hervé Éon, condamné à 30 euros d’amende avec sursis pour avoir brandi une affichette « Casse-toi pov’con! » lors de la visite de Sarkozy à Laval en juillet 2008. A défaut d’utiliser le délit d’offense, passons au délit d’outrage. C’est un bon moyen de faire taire ses opposants."
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Chronique du pays rebelle : les syndicats dépassés

Lu dans Le Figaro :
"Mais où sont passés les syndicats ? Sur le terrain, les sections défendent l'emploi des salariés. Mais au niveau national, les centrales sont absentes. La fronde est portée par des collectifs, comme les «bonnets rouges» ou les «bricoleurs du dimanche». Il faut dire que le thème de la grogne - le «ras-le-bol fiscal» - met mal à l'aise les syndicats, nourris aux idées keynésiennes. Un décalage qui met en lumière leur profonde difficulté à comprendre et à relayer les aspirations des Français. La situation, en tout cas, leur fait peur. [...]
Habitués par le passé à canaliser la colère collective, les syndicats peinent aujourd'hui à trouver la parade. Et accusent les extrêmes d'être à la manœuvre…  [...]" 
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A voir absolument la vidéo dont voici l'adresse électronique :

http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=GB2FKMrNKsU 

Vous constaterez qu'on demande ses papiers d'identité à un aumônier militaire ; vous constatez également que dans la foule des manifestants, il y a un compatriote israélite qui porte chapeau ,barbe et lévite, vous pourrez constater la violence des policiers ; et surtout ne manquez pas l'interview d'un spectateur à la fin de cette vidéo. Il est temps que nos gouvernants s'en aillent s'ils ne veulent pas mettre le pays à feu et à sang. Quant à la police, je suis stupéfait de voir son comportement devant le malaise cardiaque d'un homme arrêté, ou le poignet probablement brisé d'un jeune homme maintenu à terre. Vous observerez aussi que des policiers en civil aident les policiers en uniformes : c'est très exactement cela une police politique. Enfin, vous pourrez constater que les sifflets et les huées ne sont pas le, fait de quelques agités mais de la totalité de la foule qui borde les Champs (là où elle a été admise). J'ai reconnu sur cette vidéo l'homme un peu corpulent, porteur d'un bonnet rouge (il ne l'avait plus quand je l'ai croisé du côté de la Rue Verne, solidement encadré par trois policiers) qu'on est en train d'embarquer. Les Français n'ont plus peur, et c'est cela la grande nouveauté.

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