mardi 21 janvier 2014

Nouvelle de la Résistance : non à la dictature; du balai les fachos de gauche !

-
Chers tous, je vous invite à diffuser partout autour de vous la maxime dont je vous abreuve depuis des jours, car c'est bien cela qu'il s'agit de mettre en oeuvre dans le champ politique :

Ce n'est pas l'ignorance qui nous empêche de devenir vrai, c'est la lâcheté.

1. La citation du jour.

Je vous ai promis hier un texte de TOCQUEVILLE sur la vertu vue par les Américains de son temps : le voici In (De la Démocratie en Amérique).

"Aux Etats-Unis, on ne dit presque point que la vertu est belle. On soutient qu'elle est utile, et on le prouve tous les jours. Les moralistes américains ne prétendent pas qu'il faille se sacrifier à ses semblables parce qu'il est grand de le faire ; mais ils disent hardiment que de pareils sacrifices sont aussi nécessaires à celui qui les impose qu'à celui qui en profite. [...].
Ils ne nient donc point que chaque homme ne puisse suivre son intérêt, mais ils s'évertuent à prouver que l'intérêt de chacun est d'être honnête. [...].
L'intérêt bien entendu est une doctrine peu haute, mais claire et sûre. [...].
[Elle] ne produit pas de grands dévouements ; mais elle suggère chaque jour de petits sacrifices ; à elle seule elle ne saurait faire un homme vertueux ; mais elle forme une multitude de citoyens, réglés, tempérants, modérés, prévoyants, maîtres d'eux-mêmes ; et si elle ne conduit pas d'elle-même à la vertu par la volonté, elle s'en rapproche sensiblement par les habitudes."
-
2. Commentaires.

Je pense que la motivation principale des attaques dont les chrétiens en général et les catholiques en particulier font l'objet est tout simplement leur volonté de préférer la vertu (et les sacrifices qu'elle implique en apparence) au plaisir désordonné et mortifère. Un député socialiste, candidat à la mairie de MONTREUIL, peut dire à l'un de ses concitoyens : "Enculé de la race", il ne se trouve personne dans la haute société bien pensante pour condamner ces propos et pousser l'ignoble à la démission. Il est socialiste et qui plus est d'origine maghrébine, il a tous les droits. Bien au contraire, un cacique socialiste ose dire que la vidéo mise sur You tube où l'on voit et entend toute la scène est "anti-républicaine" (je n'ai plus en tête l'avalanche des adjectifs indignés utilisés par le cacique psittacique), mais on a accablé le Président SARKOZY pour son "casse-toi pauv'con", qui est tout de même infiniment moins grave que cette injure (quand bien même elle est peu digne de la fonction présidentielle et qu'elle était motivée par la grave impolitesse de celui à qui elle fut adressée).

Tout dans ce gouvernement est dictatorial, bas, égoïste, inconsistant : les propos de la jolie Najat VALLAUD-BELKACEM sur les opposants à l'avortement par exemple, que je vous cite :

"[...] Je commencerai donc par évoquer la loi de 1975. Je le dis avec fermeté : ce texte inscrivant la liberté des femmes à disposer de leur corps n’est ni à débattre ni à négocier.

Nous n’accepterons aucun recul. Nous serons déterminés et même intransigeants. Toutes les entraves, toutes les tentatives de remise en cause de ce droit fondamental, toutes les régressions se heurteront à la poigne de l’État de droit."

Ces propos, madame, nous libère de l'obligation que nous avions en tant que citoyens libres d'obéir à un gouvernement qui se pare de la légitimité démocratique. Nous nous donnons désormais le droit de vous combattre, par tous les moyens à l'exception de la violence, jusqu'à votre départ ignominieux. Vous serez chassés, n'en doutez pas, car il y a des limites à la violence d'état. La poigne de l'état de droit, madame, c'est votre volonté d'imposer un point de vue dont aucun être humain qui veut bien se donner la peine de réfléchir ne perçoit la légitimité, si ce n'est celui d'affirmer une bêtise. (a) Le corps est indisponible en droit français, vous le savez plus que personne. On ne peut donc disposer de son corps comme on le veut. (b) Un embryon n'est pas une partie du corps de la femme. C'est un "personne potentielle" pour reprendre l'expression alambiquée des comités d'éthique. Elle n'est tellement pas la propriété ou le prolongement du corps de la femme, qu'il y a des maladies comme l'incompatibilité foeto-maternelle par exemple, ou l'embryon manifeste qu'il est différent dans sa constitution de celle de sa mère. (c) L'immunologie nous apprend que chaque être humain a une carte d'identité antigénique qui le spécifie dans son individualité, irréductible à tout autre. (d) Il serait bon aussi que chacun d'entre nous réalise, vous la première, ce que signifie, en pratique, un avortement, et comment il est nécessaire de démembrer ce petit d'homme (au Mexique, on enfonce d'abord une aiguille dans le crâne du foetus pour le tuer ; on a des principes humanitaires au Mexique) pour l'arracher au ventre de sa mère.
Il ne s'agit pas de condamner des femmes qui pour des raisons diverses ont recours à l'avortement. Au cours de ma carrière universitaire, il m'est arrivé d'en rencontrer. Elles ne s'en sont jamais remises. Il m'est arrivé d'en accompagner pour les aider à se remettre de ce traumatisme. Il s'agit d'inciter à la vertu, pour le bien même de nos concitoyens. Il est parfaitement ignoble de considérer l'avortement comme un droit, au motif que le corps de la femme lui appartient, et de présenter cette pratique comme une alternative à la contraception ou à la limitation des naissances. Il est évident que l'exercice de la sexualité a pour finalité non exclusive le plaisir ; il est bon et légitime. Mais il y a bien des manières de limiter les naissances. Chacun fait en cette matière ce qu'il peut, à la mesure de sa conscience et de sa force ; il en a qui sont héroïques, d'autres maîtres d'eux-mêmes, d'autres plus pulsionnels. Il n'y a pas lieu de condamner, mais d'éclairer et de permettre à tous et chacun de faire un petit pas en direction de la vertu, la seule voie possible pour devenir un homme.
Mais ça les dépasse, ces imbéciles bernanosiens ! Du balai, Najat ! Du balai !  
-
3. Infos sur la résistance.

Marche pour la vie à PAPEETE (via lse salon beige).


Un article de Melchior de SOLAGES (Via les Nouvelles de France).

Melchior de SOLAGES a publié un article (http://www.ndf.fr/?p=57806) tout-à-fait remarquable, relayé par les Nouvelles de France, sur la nécessité de réintroduire la vertu en politique. Ce n'est pas un hasard, et il est assez curieux que cet article soit publié au moment même ou je trouve ce texte de TOCQUEVILLE sur la vertu. Voici un extrait de ce texte :

"« Le profil d’un présidentiable s’assimile aujourd’hui à celui d’un bon Premier ministre. La technicité l’emporte désormais sur l’orientation générale que le candidat souhaiterait donner au mandat qu’il brigue. »
Intervient alors le critère de la vertu, depuis trop longtemps occulté par le technique et le rationnel. Entendons ici la vertu comme l’habitude de faire le bien. Si un programme ne nous laisse, comme nous l’avons vu, qu’un avant-goût fort imparfait du mandat à venir, il convient en effet de trouver le critère idoine qui puisse pallier les deux inconnues identifiées précédemment : l’intégrité et la capacité d’adaptation du programme et du candidat. Or, dans cette optique, quoi de mieux que la vertu ? Avoir l’habitude de faire le bien supprime de fait le problème de l’intégrité et est la meilleure garantie qui soit face à celui de la capacité d’adaptation aux situations nouvelles. Bien entendu, nous concevons tout à fait que le mieux intentionné des hommes puisse être piètre gouverneur pour peu que ne lui soient présentées que de mauvaises options. La vertu seule du candidat n’est donc en rien suffisante. L’homme politique vertueux se doit de se doter d’une fine équipe de conseillers capable de le seconder en toute décision. Mais une fois le travail de recherche et de conseil effectué par son équipe, le politique vertueux saura choisir le plus court chemin vers le bien. Remarquons que nous répondons ici implicitement au manque ambiant de vision politique que nous avions soulevé plus haut. En choisissant, du fait de sa vertu, le plus court chemin vers le bien, le politique adapte systématiquement la situation nouvelle à son habitude du bien, ce qui prend naturellement la forme d’une trame d’actions continue et univoque, soit, l’incarnation même d’une vision."
-
N'oubliez pas : Jour de Colère, le 26 janvier à PARIS !

2 commentaires:

Michel Georges a dit…

C'est sûr que Najat VALLAUD-BELKACEM est jolie, mais elle est socialiste… Donc je ne vais pas la peindre, je préfère comme tu peux le voir Vanessa Paradis. Merci pour ton commentaire; Ton article d'aujourd'hui comme ceux des autres jours est en accord avec mes idées. Il nous faudra cependant patienter pour s'en sortir. Amitiés

tippel a dit…

Certains français ne manquent pas d’humour !
Copie de 2 vrais courriers reçus par le Trésor Public.


Monsieur l'agent du Trésor Public


Mon colis a pu vous étonner au départ.
Alors voilà quelques explications.
Je vous joins à cette lettre une photocopie de l'article du Nouvel Observateur intitulé « Les vraies dépenses de l'état ».
Vous noterez que, dans le quatrième paragraphe, il est précisé que l'Élysée a l’habitude de payer des brouettes 5200 €, des escabeaux 2300 € et des marteaux 550 € pièce.
Par ailleurs, un très intéressant article du Canard Enchaîné dont la bonne foi est bien connue (copie également jointe) rapporte que le prix des sièges WC du nouveau Ministère des Finances est de 3750 € la pièce.

Vous devant la somme exacte de 13816 € pour l'année fiscale qui s'achève, je vous adresse donc dans ce colis quatre sièges WC neufs et cinq marteaux, le tout représentant une valeur de 14000 €.

Je vous engage par ailleurs à conserver le trop perçu pour vos bonnes œuvres ou bien à utiliser les 184 euros restants pour que notre Président de la République puisse compléter sa boite à outils.
Ce fut un plaisir de payer mes impôts cette année, n'hésitez pas, à l'avenir à me communiquer la liste des tarifs usuels pratiqués par les principaux fournisseurs de l'état.

Un contribuable heureux.