mercredi 26 février 2014

Nouvelles de la Résistance : Ils veulent les étrangler ! deuxième billet du 26 février 2014

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Je rentre de chez mon coiffeur ! Un homme doux, courtois, d'une rare gentillesse et compétent, ça je peux le dire. C'est un amoureux du travail bien fait, et il n'arrête sa tâche que lorsque tout est parfait. Antony tient son salon à BOULOGNE-BILLANCOURT. Je le recommande vivement à mes hypothétiques lecteurs boulonnais.
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Antony ouvre à 9 heures du matin et ferme à 17 h ou 18 h, selon les jours. Il ne s'interrompt pas à midi et ne déjeune pas. Son carnet de rendez-vous est plein. Il travaille sans arrêt et sans repos, puisque son jour de fermeture, il le consacre, chez lui, à la comptabilité et aux écritures.
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Il m'avouait que si les impôts devaient augmenter, il serait contraint de fermer. Et il me confiait que malgré cet incessant travail, il arrivait à peine à se faire 1500 euros par mois. Il avait une apprentie qui a démissionné au bout de trois semaines au motif que le métier était trop fatiguant. (La directrice de l'établissement où était inscrite cette jeune fille lui a dit que le cas était très fréquent et que ses jeunes ne veulent tout simplement pas travailler.) Il aurait la clientèle pour embaucher un salarié supplémentaire - il en emploie déjà deux - mais vus les contraintes et le coût des charges sociales, il a dû y renoncer.
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Voilà comment ces imbéciles nous gouvernent. Ils ouvrent en grand les robinets des prestations à tout étranger arrivé clandestinement, n'hésitent pas à faire verser des allocations familiales à des hommes bigames et pères de nombreux enfants (on m'a cité le cas, photo à l'appui, d'un imam qui a deux femmes et 16 enfants ; la première touche l'allocation de parents isolé, bien sûr, puisque la polygamie est interdite en France). [Là encore, gardons-nous de généraliser ; je rencontre tous les mardis à la Banque alimentaire des femmes venues du Maroc, de l'Algérie, de la Tunisie et même d'Egypte ou de divers pays africains dont le Mali. Elles sont d'une rare gentillesse, sont de vraies croyantes, respectent et aiment les chrétiens que nous sommes et même nous demandent des renseignements sur Marie ou sur Jésus. Je le dis tout haut ; je les aime, ces femmes qui ont choisi la France et la vénère (ça je puis l'affirmer). De grâce, ne mettons-pas tout le monde dans le même panier. Ce sont les parasites dont il faut se débarrasser, souvent des exaltés, des violents, des intolérants. Nous n'en avons que faire. Mais n'accusons pas tout le monde à tort et à travers. Nous avons une véritable opportunité d'évangélisation.]
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Je reprends le cas d'Antony. Les socialistes n'ont d'yeux doux que pour les salariés. Je ne parle pas des ouvriers ; il y a longtemps qu'ils les ont oubliés et les ont livrés à eux-mêmes après leur avoir fait des promesses mirobolantes pour piper leurs voix (cf. FLORANGE). Les socialistes détestent les gens libres, qui vivent de leur seul travail, et n'ont d'autres filets de sécurité que leur santé, leur compétence et leur résistance. Ils les les détestent, parce que ces hommes et ces femmes libres leur résistent et ne sont pas dupes de leurs mensonges et leurs iniquités. Ils les détestent parce qu'ils ne peuvent les contrôler, les formater, les réduire en esclaves de leur idéologie. Mais ils adorent, vénèrent, idolâtrent, chouchoutent les grands patrons, et la dernière escapade de François le minuscule aux Etats-Unis a bien montré vers qui lui et les siens lèvent les yeux et les mains pour les supplier de venir en France. C'est indigne d'un grand pays ; c'est indigne d'un responsable politique. Et en plus ce n'est pas son rôle.
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Je termine avec Antony. Il est évident, m'a-t-il dit, qu'il ne suffit pas de manifester pour être entendu. Le récent exemple de KIEV montre, assure-t-il, comment il faut s'y prendre pour chasser des incapables. Je pense, personnellement, que nous devons d'abord utiliser le vote démocratique, et si nous ne sommes pas entendus, aller à la désobéissance civile non violente, dont la forme reste à déterminer. Je fais confiance à la débrouillardise de mes compatriotes pour déjouer les manigances de Menton Pointu ! Mais que ces gens ne s'y trompent pas. Il se pourrait bien que ça pétât !

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