samedi 8 février 2014

Nouvelles de la Résistance : le fonctionnement de la tyrannie

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Je vous l'ai déjà dit des dizaines de fois :

Ce n'est pas l'ignorance qui nous empêche d'être vrai, c'est la lâcheté.
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1. La citation du jour.


J'emprunte aujourd'hui encore à mon cher Marcel DE CORTE la citation du jour.

"Le rôle de tout système tyrannique est de créer des discordes dans le peuple, de détruire les familles elles-mêmes, et d'appauvrir les citoyens pour qu'ils n'aient pas les moyens de se libérer du joug."

Et je vais commenter sous la forme d'une lettre adressée aux innombrables imbéciles (selon BERNANOS) qui prétendent nous gouverner. Le problème c'est que les oies refusent de se laisser gaver, qu'elles ne veulent point qu'on leur enfonce dans la gorge l'entonnoir avec lequel nos gouvernants prétendent nous nourrir de poisons, non pour notre bien, mais pour le leur et celui de leur clan.

2. Commentaire : lettre ouverte aux imbéciles qui ont la prétention de nous gouverner.

"Très chers imbéciles,

Vous n'avez donc rien d'autre à faire (mes petits enfants, plus carrés utiliseraient le mot "à foutre") que de concocter depuis des mois des lois sur le mariage homosexuel, sur le statut de beaux-parents, sur l'euthanasie, sur la PMA, sur la GPA, et de nous accabler d'impôts. Quand je compare vos pratiques à celles que définit Marcel DE CORTE, je ne puis m'empêcher de conclure que votre vocation et votre volonté sont celles de tyrans, ou de tyranneaux pour les moins doués d'entre vous. Détruisant les familles (croyez-vous), appauvrissant le pays, vous pensez qu'un jour on en viendra à faire la queue dès 5 heures du matin devant les boulangeries, et qu'on vous acclamera parce que ce jour-là elles auront suffisamment de pain pour servir les cinquante premiers de la file.

Vous ne voyez rien, vous n'entendez rien. Tout entier tournés vers votre nombril et votre cerveau, vous passez, arrogants et souverains, devant nous qui vous contemplons stupéfaits d'une telle impudence.

Il y a des dizaines de milliers de sans abris dans les rues de Paris. Vous préférez subventionner les associations qui militent pour vos idées mortelles, que d'orienter vos cadeaux vers la constructions de logements décents, individuels et dispersés où ils pourraient trouver un refuge et la paix. Faites-donc un tour, par exemple, à la station de Métro Cluny-La Sorbonne : vous y verrez, tous les jours, vers 8 h du matin, 4 ou 5 pauvres hommes, leur sac à dos, leur sac de couchage et quelques misérables hardes, posés sur des cartons qui leur servent d'isolant. Prenez le métro, la ligne 10, par exemple. Vous verrez que, sur dix stations, à chaque voyage, deux ou trois pauvres gens font la manche : ils ont tantôt un accordéon ou un violon et jouent toujours les mêmes rengaines. Nombre d'entre eux sont des étrangers ; d'autres, nos compatriotes, portent qui un bandeau sur l'oeil, qui des béquilles, ou passent désespérés entre les rangs. Vous ouvrez grand les frontières aux premiers, mais ne faites rien pour les loger, les intégrer, leur apprendre notre langue et ne leur laissez guère d'autre choix que celui de la mendicité ou de la rapine. Quant aux seconds, ils ne bénéficient pas des largesses que certains immigrés venus de nos anciennes colonies sollicitent de nos institutions. Venez donc un mardi matin, Boulevard Murat, à la Banque alimentaire que tiennent ces chrétiens et ces catholiques tant ridiculisés, vilipendés, calomniés par vos sbires et vos médias. Toute cette misère humaine, c'est vous qui l'avez attirée en faisant miroiter des promesses et des avantages que nous sommes dans l'incapacité d'honorer. Même remarque pour les admirables Resto du coeur. La plupart d'entre vous vous gardez bien de vous impliquer vous-même dans cette action concrète auprès des pauvres et des souffrants.

En effet, je ne vous ai jamais vus à la station Cluny-La Sorbonne, ni dans le métro, ni dans les Banques alimentaires, ni dans les Restos du coeur. Mais vous parlez du coeur comme d'autres parlent du nez. Vous êtes des perroquets, qui récitez un catéchisme d'un autre âge. Vous êtes vieux avant l'âge. Mais comme il faut bien occuper le temps pour lequel on vous paye à ne rien faire, vous inventez des impôts, des taxes, des lois rétroactives, des suppléments de cotisation. Menteurs vous êtes, incapables avérés, dépourvus de toute empathie. La pauvreté, la misère, les difficultés de la vie vous servent d'arguments pour occuper les bonnes places dont les revenus sont payés par les contribuables. Soyez assurés que ça n'aura qu'un temps.

Un seul mot ! Du balai. Et il ne s'agit pas de dire que vos opposants sont anti-tout : anti-élite, anti-hommes politiques, anti-journalistes. Dans toutes ces catégories sociales, il y a des hommes et des femmes dignes de notre confiance et de notre gratitude. Mais comme vous êtes des idéologues avant tout, il suffit qu'on ne soit pas d'accord avec vous pour que vous nous rejetiez en bloc avec mépris dans la cohorte des réprouvés.

Je ne forme qu'un souhait : que vous soyez chassés d'un pouvoir que la plupart d'entre-vous n'êtes pas dignes d'occuper (et je mets dans le même sac les hommes de la majorité et ceux de "l'opposition" [?]). Comme le disait si bien PASTEUR, éponyme de l'Université dont j'ai eu l'honneur de faire partie : "C'est l'homme qui honore la fonction, pas la fonction qui honore l'homme". (Avis à l'amateur de scooter.)

J'ai bien l'honneur, messieurs les imbéciles bernanosiens, de vous saluer.
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3. Infos sur la résistance.

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Même à Tokyo, on en parle (via le Salon beige).



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Ludovine de la ROCHERE demande à être reçue par François HOLLANDE.


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Dérapage au Figaro Magazine.

Guillaume, un ami très cher qui fait partie des Gavroches, me signale que le Figaro Magazine classe ce mouvement entre le Printemps Français et Hollande-Dégage. Je n'ai pas vérifié le contenu de l'article mais je me demande sur quels arguments le journaliste, qui a opéré une ventilation idéologique des mouvements parties prenantes de La Manif Pour Tous du 2 février, peut arriver à une telle conclusion. J'observe avec étonnement que Le Figaro et Le Figaro Magazine semblent partager l'avis de Menton Point et de Vincent le Péda-Démago sur la prétendue "rumeur" du gender. C'est à croire qu'il n'y aurait qu'une façon de voir la réalité : celle de l'AFP, de la Place Beauveau et la Rue de Grenelles réunies. Je redis ici avec force et agacement que combattre ces folies n'est pas forcément le fait d'extrémistes ; c'est une réaction de survie, une saine réaction, une réaction indispensable. Tant pis pour ceux à qui il ne plaît pas de voir des nageurs en péril gagner la rive avec énergie et y parvenir fatigués mais sans trop d'encombres.



1 commentaire:

tippel a dit…

Horreur et décadence dans les écoles françaises ! Écoutez Marion Segaud sociologue, professeur émérite :

Copiez le lien suivant :

http://www.youtube.com/watch?v=7waAbs5hDa0

Ce président et ce gouvernement perdent décidément toute légitimité.
Mais où est la révolte du corps enseignant devant cette dérive ?
Est-il résigné ou complice ?