lundi 10 mars 2014

Nouvelles de la Résistance : dérives totalitaires... propositions

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Non, ce n'est pas l'ignorance qui nous empêche de devenir vrai, c'est la lâcheté !
Plus que jamais, en ces temps opaques où, pour trouver les moyens de couler dans l'opinion un dangereux rival, le pouvoir en place actionne ses juges et les autorisent à écouter pendant plus d'un an, les conversations privées d'un ancien Président de la République et de son avocat, il nous importe d'être courageux et de dénoncer ces pratiques dignes des pires totalitarismes. Chaque citoyen doit savoir, en effet, que s'il plaît à madame TAUBIRA (quoi qu'elle en dise ; elle avancera que les juges sont indépendants, mais demandera à un haut magistrat de quitter son poste pour y mettre quelqu'un de sa sensibilité politique) de nous faire écouter pour tenter de nous confondre - mais nous n'avons rien à cacher, pas même le dégoût que nous inspire ce régime qui ne voit même pas qu'il est train de mourir - elle le fera, même si c'est illégal. On nage dans l'arbitraire le plus total, et je m'étonne de constater que les hommes de gauche qui se proclament champions de la liberté, n'aient pas critiqué ces pratiques. Ceci étant dit, venons en à la citation du jour.
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1. La citation du jour. 
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Nous emprunterons la citation du jour à une remarque que MONTESQUIEU met sur les lèvres d'USBEK dans ses lettres persanes, à propos des êtres humains :

" Ils naissent tous liés les uns aux autres : un fils est né auprès de son père, et il s’y tient : voilà la Société et la cause de la Société."  
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2. Commentaires.
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Ce que MONTESQUIEU veut nous dire est d'une importance capitale, et démontre l'entreprise totalitaire conduite par les socialistes actuellement au pouvoir. La famille est une institution pré-politique, nous dit-il par l'intermédiaire d'USBEK. Ce n'est pas le politique qui la constitue. Il se borne à en constater l'existence. Il est exact que les contours des familles ont été fort variables au cours des temps et selon les civilisations. Elle avait un sens très élargi chez les Chinois qui la voyait plus comme l'ensemble de la parentèle descendant d'un ancêtre commun, et elle avait pris, avec l'avènement de la modernité, le sens que nous lui attribuions jusqu'à un passé récent : celui de famille nucléaire, une famille constituée du père, de la mère et des enfants. Foin de toutes ces balivernes nous disent les PEILLON, les TAUBIRA, les HOLLANDES et les Loges qui ne se contentent pas de les héberger, mais encore les inspirent : la famille est le groupement humain, que moi, ma petite personne, je décide de constituer, quels que soient les moyens que j'emploirai.
L'homme, tel qu'il est vu par la pensée dominante, est conçu comme un être anti-naturel, qui ne peut trouver sa liberté qu'en dépassant les déterminations des sexes, de la langue, de la religion (dixit l'inénarrable Vincent PEILLON). Il n'est qu'un être de culture. Donc, mettons la main sur la culture, et nous aurons des individus faits à l'image que nous aurons imposée à la société ! Contre cette tentative totalitaire, et vouée à l'échec, sans aucun doute, il nous importe cependant d'être vigilant pour empêcher ce venin d'intoxiquer nos jeunes.
Je suggère aux parents d'élèves, inquiets de la dérive de l'éducation prétendue et soi-disant nationale, de constituer des petites équipes chargée de recevoir deux ou trois fois par semaine, cinq ou six écoliers, collégiens ou lycéens, pour les aider dans leurs devoirs, les enseigner ce qu'ils sont reçu de leurs ancêtres et de leurs parents, et leur remettre la tête à l'endroit. Une classe fait 30 enfants ou adolescents. Il faudrait pour que l'initiative soit efficace qu'il y ait donc 5 parents qui acceptent de prendre en charge une groupe de 5 enfants, au moins une fois par semaine. Dix parents permettraient d'organiser deux soirées par semaine. J'ajoute que des volontaires, qui n'auraient pas ou plus d'enfants scolarisés, pourraient venir étoffer ces équipes. Ainsi que je l'ai dit plusieurs fois, je suis personnellement partant.
Nous pouvons lutter avec nos armes contre ces dévoiements de la pensée, et cet accaparement de nos libertés essentielles. Car sous couvert de liberté, nos princes ne visent qu'à instaurer l'ordre qui a germé dans leur cerveau.
Je vous mets ci-dessous les conclusions principielles du Grenelle de la Famille.
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3. Infos sur le Grenelle de la Famille. 
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Voici les principes élaborés au Grenelle de la Famille. Je demande instamment à mes lecteurs de diffuser ces principes directeurs qui doivent inspirer toute politique de la famille digne de ce nom.
  1. La famille, socle fondamental de la société, est une communauté autonome et responsable. Elle doit être reconnue, protégée et soutenue par la nation.
  2. Le mariage doit être protégé par la nation comme engagement public que prennent librement un homme et une femme l'un envers l'autre dans la durée pour s'aimer, fonder une famille et éduquer leurs enfants.
  3. Tout enfant est né d'un homme et d'une femme. Dans son intérêt supérieur, il a le droit d'être élevé par son père et sa mère ou, s'il est privé de sa famille d'origine, par un père et une mère adoptifs. L'Etat ne peut en aucun cas priver délibérément un enfant de ce droit.
  4. L'enfant n'étant la propriété de personne, il ne peut être l'objet d'aucun commerce ni d'aucun don, ni avant, ni après sa conception. La grossesse ne peut être l'objet d'aucun contrat par respect de la femme. L'Etat combat toute atteinte portée ce double principe aussi bien sur son territoire que dans le cadre de sa politique étrangère.
  5. Il appartient au père et à la mère de déterminer l'éducation de leurs enfants. L'Etat ne peut remettre en question ce droit.
  6. L'Etat contribue au bien commun et à la pérennité de la société par unepolitique familiale universelle. Celle-ci favorise le renouvellement des générations et la solidarité entre elles, elle permet l'accueil et l'éducation de l'enfant par son père et sa mère.
  7. L'impôt sur le revenu est payé par les foyers dans le respect et en fonction du quotient familial qui traduit leur capacité contributive.
  8. En éduquant leurs enfants, les parents rendent à la communauté nationale un service qui doit être reconnu.
  9. En vertu du principe de subsidiarité, l'Etat encourage les initiatives de la société civile au bénéfice de la famille. Il s'appuie sur les associations familiales pour toutes décisions qui concernent la famille. Il peut aussi s'appuyer sur les autres corps intermédiaires.
  10. Parents et enfants se doivent mutuellement respect, solidarité, secours et assistance. La politique familiale donne les moyens aux parents et aux enfants de respecter ce principe.

4. Infos sur la Résistance.
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Accueil de Christiane Taubira à Mâcon

Le ministre vient soutenir le candidat socialiste aux municipales.
RDV à partir de 17h15 à la salle Champlevert 109 rue Léo Lagrange.
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Accueil des ministre au Théâtre de la Gaîté (suite, via le sxalon beige)

Autre témoignage de l'accueil des ministres vendredi soir au Théâtre de la Gaîté à Paris :
"Après avoir lu le témoignage d’un homme concernant les événements de vendredi soir au théâtre de la Gaité, je souhaite apporter quelques précisions à son récit.
Vendredi 7 mars 2014J’étais moi aussi présente ce soir-là avec plusieurs amis dont certains membres du collectif « Hollande dégage ! ». Lorsque les forces de l’ordre ont fait évacuer la rue devant le théâtre, nous nous sommes réfugiés dans le café juste à côté. Les policiers nous ont alors repérés et ont mis en place un dispositif impressionnant afin de nous empêcher de sortir librement du café. Ils filtraient les passants devant nous et toutes les personnes qui voulaient entrer dans le théâtre devaient présenter leur billet et leur pièce d’identité. Celles qui n’avaient pas de billet étaient systématiquement raccompagnées au bout de la rue.
Nous étions bloqués depuis plusieurs dizaines de minutes lorsquenous avons vu Christiane Taubira sortir de sa voiture et gravir les marches du théâtre. Nous avons alors crié « Taubira démission ! Hollande dégage ! dictature socialiste ! « etc. Les policiers nous ont alors violemment repoussés dans le café au risque de blesser les clients qui se trouvaient là par hasard.
Pour ne pas provoquer de dégâts dans le café, nous avons demandé à sortir et à rejoindre la foule retenue par les forces de l’ordre au bout de la rue. Les deux policiers situés devant la porte nous ont interdit de sortir et nous ont dit qu’ils attendaient les instructions de leur hiérarchie. Au bout d’un moment, nous avons vu arriver une voiture et Jean-Marc Ayrault en sortir. Nous avons recommencé à crier « Ayrault démission ! » etc. et nous sommes une nouvelles fois fait refouler dans le café. Finalement les policiers nous ont laissé sortir et nous avons pu rejoindre la foule au bout de la rue.
Nous avons alors décidé d’attendre la sortie des ministres de l’autre côté du théâtre. Nous avons donc fait le tour du pâté de maison et sommes arrivés à un carrefour situé sur le trajet du cortège officiel.
Aux alentours de 21h30, nous avons vu la voiture de Jean-Marc Ayrault quitter le théâtre et avancer dans notre direction. J’étais située au niveau d’un feu et, lorsque la voiture a tourné à gauche, je me suis avancée jusqu’au milieu du passage piéton. Quand la voiture est passée juste devant moi, j’ai crié « gouvernement démission ! Hollande dégage ! dictature socialiste ! » Un gendarme mobile a alors couru vers moi, m’a saisie par le bras et emmenée de force sur le côté le long d’une grille. J’ai été immédiatement encerclée par les gendarmes. Il y avait pas moins de sept gendarmes juste autour de moi et d’autres étaient positionnés à quelques mètres de moi. Je me suis retournée pour voir ce qu’il était advenu de mes amis et les ai vus de l’autre côté de la rue : heureusement ils ne m’avaient pas suivie sur le passage piéton !
Un major m’a demandé ma carte d’identité que je lui ai aussitôt présentée. Finalement, au bout d’une quinzaine de minutes et après avoir procédé à la vérification de mon identité, ils ont fini par me relâcher. J’ai alors pu rejoindre mes amis qui s’étaient éloignés pour ne pas être encerclés à leur tour et nous sommes tous partis prendre le métro."


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