dimanche 25 décembre 2016

24 décembre 2016. Nouvelles de la Résistance : il n'y avait pas de place pour eux à la mairie de Paray-le-Monial

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Ce n’est pas l’ignorance qui nous empêche de devenir vrai ! C’est la lâcheté !
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1. LA CITATION DU JOUR.
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"Or, pendant qu’ils étaient là, le temps où elle [Marie] devait enfanter se trouva révolu. Elle mit au monde son fils premier-né, l’enveloppa de langes et le coucha dans une crèche, parce qu’il n’y avait pas de place pour eux à l’hôtellerie." (Luc 2, 6-7)
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2. COMMENTAIRES.
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Apparemment, grâce à l’intervention de la Ligue dite de Défense des Droits de l’Homme, il semble bien qu’il n’y ait pas davantage de place pour eux à la Mairie de PARAY-LE-MONIAL. L'officine ténébreuse a en effet trouvé que cette crèche était une offense aux droits de l’homme et a obtenu du Tribunal Administratif de le démontage de cette crèche qui offensait tant les farouches défenseurs de… de quoi au fait ? De la laïcité la plus sectaire et la plus répugnante qui se puisse imaginer.
Sachez bien deux choses et même trois : premièrement, PARAY-LE-MONIAL est jumelé avec BETHLEEM, le lieu de naissance de JÉSUS, deuxièmement, cette crèche a été confectionnée par des personnes handicapées, chrétiennes et musulmanes de cette ville, troisièmement, on ne voit pas comment un Tribunal peut ordonner cette décision demandée par une Association qui, selon ses statuts, n’a pas d’intérêt à défendre, sauf ceux des Loges dont elle est le fidèle relais.
« Oui, il n’y avait pas de place pour eux à la Mairie ». Il semble, en revanche qu’il y en ait beaucoup pour accueillir clandestins, et migrants, sans aucun discernement, ni aucune justification politique : l'accueil est parfois très justifié, sans aucun doute, parfois, il est... disons-les choses, peu regardant. 
Regardez la photo de la crèche qui scandalise ces imbéciles. Et concluez vous-même.
J’aurais bien envie de demander aux commerçants de PARAY-LE-MONIAL, de mettre dans leur vitrine soit une crèche de leur cru, soit la photo de la crèche qui doit être évacué de la mairie.

Voici un autre commentaire pris sur le site

"M’est avis que le maire de Paray-de-Monial ne devrait pas en rester là : il y a d’autres recours juridique. Il est absurde, comme le soutient l’avocate de la Ligue française de défense des droits de l’homme et du citoyen (LDDH), qu’une crèche de Noël placée dans un lieu le transforme ipso facto en « lieu de culte » ! Faudrait-il donc déposer toutes les peintures de Nativité de nos musées publics au motif que la présence de ces œuvres pourrait transformer ces musées en lieux de culte ? Absurde et grotesque ! En outre, la présence de cette Crèche, certes emblématique de la période de Noël, n’était en mairie que pour souligner un aspect du jumelage de Paray-le-Monial avec Bethléem où cette Crèche et ses personnages ont été fabriqués par des handicapés, chrétiens et musulmans, soutenus par une association d’aide promue par la mairie ! Des Crèches identiques sont d’ailleurs vendues, au profit de l’association dans un musée de la ville sans que personne n’y trouve à redire… L’action de la LDDH est odieuse et la décision du tribunal contestable. Qu’elle soit donc contestée !
La justice a ordonné aujourd’hui le retrait de la crèche installée dans le hall d’accueil de la mairie de Paray-le-Monial (Saône-et-Loire), a-t-on appris aujourd’hui auprès de l’avocate du demandeur. « L’exécution de la décision du maire de Paray-le-Monial exposant une crèche de Noël à l’intérieur de l’hôtel de ville est suspendue », indique dans son jugement le tribunal administratif de Dijon, saisi en référé suspension. « La justice administrative a estimé que cette crèche était contraire au principe de neutralité qui doit être observé dans les services publics », a expliqué à l’AFP le conseil de la Ligue des droits de l’Homme (LDDH), Me Sophie Mazas, à l’initiative du recours judiciaire. Le tribunal a également condamné la commune à payer 1000 € à la LDDH. « On n’est pas opposé à l’installation de crèches mais pas dans un endroit où vous allez voter. La mairie n’est pas un lieu de culte », a ajouté Me Mazas. « Cette crèche a une valeur culturelle », a souligné pour sa part le maire LR de Paray-le-Monial, Jean-Marc Nesme. « C’est inimaginable. Je ne fais que respecter une convention d’échanges culturels entre Paray-le-Monial et Bethléem, signée le 9 septembre 2003 sous couvert du Consulat général de France à Jérusalem et de Yasser Arafat  », a fait valoir l’édile assurant qu’il paiera « de (s)a poche » les 1000 € demandés par la justice."

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Telle est donc la crèche qui fait scandale : comparez sa taille avec celle du sapin ! Et voyez combien le scandale est énorme !



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