vendredi 10 mars 2017

10 mars 2017. Nouvelles de la Résistance. L'honneur est l'hommage en acte rendu à la vérité

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Ce n’est pas l’ignorance qui nous empêche de devenir vrai, c’est la lâcheté !
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INTRODUCTION A UNE LONGUE SERIE DE BILLETS.
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Allégresse, jubilation, stupéfaction, admiration, étonnement, voire pour certains agacement ou irritation (ce n’est pas mon cas), il n’y a pas assez de mots pour décrire ce que tout lecteur ressent à la lecture de ce recueil d’articles publiés par Georges B.ERNANOS entre 1945, date de son retour en France, et 1948, date de sa mort. Oh ! Il ne fait pas fureur dans le monde politique, car il met celui-ci en face de sa boue, de ses compromissions, de sa médiocrité.
Je me propose dans les billets qui viennent de vous faire connaître les passages les plus brûlants de cet ouvrage. Et je vous invite à vous le procurer, par exemple à la Procure de la rue de Mézières, où il figure en bonne place.
Il s’agit, vous l’avez deviné, du livre intitulé :

Français, si vous saviez !
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1. LA CITATION DU JOUR.
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"Qui n’aime pas l’honneur français ne sera jamais qu’un Français de basse espèce. J’accorde que de tels gens peuvent être utiles au pays, ou même, paradoxalement, l’honorer. N’importe ! Ils n’appartiennent pas tout entiers à la France, la France ne le reconnaîtra pas au dernier jour […]."

"La France sens plus ou moins confusément qu’avant de la gouverner il faut d’abord la sauver, qu’elle est toujours à sauver, qu’on la dit faussement sauvée. […].
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2. COMMENTAIRES.
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Mes commentaires seront mélancoliques. J’appartiens à cette génération née au tout début de la seconde guerre mondiale. J’allais avoir 5 ans quand l’armistice du 8 mai fut signé à REIMS. Je me souviens parfaitement de l’humiliation que représentait d’avoir de l’autre côté de la grande avenue où nous habitions, grouillante de soldats et de sbires allemands, la belle maison où siégeait pendant la guerre la Gestapo, et je me souviens de ces bus de couleur bleue, dont les galeries étaient chargées de bicyclettes (pourquoi, je n’en sais rien ; c’était à la fin de la guerre, en plein été sans doute, alors que Paris venait d’être libéré) qui semblaient emporter avec eux la calamité et la honte de la défaite.
Monsieur MACRON, vous avez osé déclarer dans une capitale étrangère que la colonisation était un crime contre l’humanité. Vous n’êtes pas un homme d’honneur. Vous n’êtes pas un Français à part entière. Vous êtes un représentant de cette classe honnie qui s’enrichit sur le dos des Français par la finance, la banque, le mondialisme et les réseaux secrets. Mais, comme le dit notre cher Georges, on vous trouvera peut-être utile, mais n’aurez été qu’utile, jamais juste et jamais vrai.
Monsieur MACRON, l’honneur est l’hommage en acte que toute conscience droite rend à la vérité. Cette formule est de moi, et elle est le fruit d’une longue réflexion. Vous êtes dans le mensonge. Ainsi que le dit avec puissance BERNANOS, vous êtes le continuateur de cette classe de bourgeois qui a fait le régime de Vichy, ses trahisons, ses compromissions. Faut-il rappeler que le Maréchal PETAIN a été porté au pouvoir par des chambres de gauche, et qu’il n’y a eu que 80 parlementaires pour le lui refuser.
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3. INFORMATIONS DIVERSES.
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La traitrise par goût du pouvoir.

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Il était temps qu’il la fendît !

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On comprend les soutiens hésitants !

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Epuisé par son travail à charge contre monsieur FILLON, le PNF dort, somnole, ronfle…

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Exemplarité ?

Monsieur MACRON, que vous est-il arrivé pour qu’en moins d’un an, vos gains de 3 millions d’euros en trois ans (2010-2013), se soient réduit à un patrimoine d’un peu plus de 200 000 euros en 2014 ? Et qu’avez-vous fait avec le prêt que vous remboursâtes, certes, de 500 000 euros, à vous consenti par un ami. A côté de ses 50 000 euros, monsieur FILLON fait pêle figure










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