jeudi 21 septembre 2017

21 septembre 2017. Nouvelles de la Dissidence. Connaître le passé pour organiser et comprendre le présent


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Nous terminons le cycle consacré à TOROROV.
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Rien n’est plus facile que de prêcher la vérité. Le miracle, c’est de la faire aimer !
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1. LA CITATION DU JOUR.
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"La connaissance du passé satisfait d’abord un besoin humain fondamental, celui de comprendre et d’organiser le monde, de donner un sens au chaos des événements qui s’y succèdent. Nous savons bien, même si nous n’y pensons pas toujours, que nous sommes faits de ce passé ; le rendre intelligible, c’est aussi commencer à nous connaître. À la lumière du passé, le présent se transforme : nous cessons de prendre à la lettre l’interprétation autojustificative ou autoglorifiante que les acteurs aiment donner à leurs actes, pour les lire en perspective. Les mots se prêtent à tous les usages, on ne peut donc se fier aux descriptions dont se servent nos contemporains ; par la confrontation avec le passé, voie en apparence détournée, nous pouvons accéder plus facilement et plus directement au monde qui nous entoure. Comprendre la pensée d’hier permet de changer la pensée d’aujourd’hui, qui à son tour influence les actes à venir. Agir directement sur la volonté des hommes est difficile et du reste inutile : ce n’est pas leur volonté qui erre (les hommes veulent toujours leur bien), c’est leur jugement (ils cherchent ce bien là où il n’est pas). Éclairer le jugement est un moyen d’agir sur leur volonté, et c’est là que l’histoire peut aider. Les représentations du passé, construites par l’historien, sont actions dans le présent : se penser différemment permet de changer notre manière d’agir ; dire, ici, c’est faire."
In
Tzvetan TODOROV.
Le Jardin imparfait. La pensée humaniste en France. (Collection dirigée par Jean-Paul ENTHOVEN ; Biblio essais ; Le Livre de Poche N°4297.)
[Le Livre de Poche], Grasset, Paris, 2006. (Page 321.)
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2. COMMENTAIRES.
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Ils seront très courts : il est impossible de comprendre le monde contemporain si l’on ignore l’histoire, et notamment celle de sa propre patrie.
Quels intérêts les idéologues socialistes, libéraux, ou mondialistes, défendent-ils en empêchant les écoliers, les collégiens ou les lycéens de connaître l’histoire de leur pays présentée en un continuum chronologique et non sous forme thématique gélatineuse, pleurnicharde, repentante et falsifiée, forme qui, en réalité permet toutes les déformations ?
Je vais vous le dire : les empêcher de penser, de former leur jugement, de prendre du recul, de façon à pouvoir en faire de bons moutons, de bons consommateurs, manipulables à merci par les grands groupes industriels et financiers, ainsi que par les sociétés de pensée dont je tairais le nom mais qui ont le compas dans l’œil et qui marchent à l’équerre !
Eh bien chers lecteurs, je vous invite à résister à l'oppression du fric et à celle d'un Etat de plus en plus totalitaire.
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3. REVUE DE PRESSE INSOLENTE.
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Le point sur la désinformation en Syrie.

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Un référendum bienvenu contre le tout puissant SOROS.


D'un coup de téléphone, cet homme peut ruiner des milliers de familles, et il l'a fait du reste, en spéculant en bourse notamment. 
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Monsieur Jean-Luc ROMÉRO est un menteur. Voilà ce qu’il dit ouvertement.

"Boutin l’a dit. Et elle avait raison. C’est bien la seule chose avec… Quand elle disait « tout ça c’est la porte ouverte au mariage et tout". Bien sûr qu’elle avait raison ! Bien sûr que quand on se retrouvait entre nous on rigolait et on disait : voilà, on dira tout le contraire devant les médias, devant tout le monde, dans nos réunions publiques. Il faut avoir un peu de stratégie en politique quand on veut arriver... Quand en plus on sait que ça va dans le sens de l’égalité des droits."
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Les effets pervers d’une immigration incontrôlée.


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Quand l’Europe (le Conseil de l’Europe en l’occurrence) nous impose la présomption de minorité !


En somme, il suffit qu'un clandestin isolé se déclare mineur sans qu'on puisse le prouver, pour nous obliger à le garder sur notre sol.
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Les vraies raisons de la guerre en Syrie expliquées par Alain Juillet, ex-directeur de la DGSE.

(Sur Public Sénat, le 08.03.2016).

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Un footballeur qui a la foi et le dit.

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De feu le cardinal CAFFARA l’analyse pertinente d’un livre de première importance.




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