vendredi 8 décembre 2017

08 décembre 2017. Note brève, en l'honneur de Marie, pour la Gloire de son Fils !

Chers lecteurs, en cette fête de l’Immaculée Conception, il y a peu de choses à dire. En voici quelques-unes, dans cette note brève.

(a) Merci à mon très cher ami Dominique qui m’envoie ce lien. Je vous invite à écouter cet Ave Maria, absolument bouleversant, joué à la flute de Pan par une musicienne péruvienne.


(b) Je bénis du fond de mon cœur ces quelques cinq-cents jeunes gens et jeunes filles qui ont assisté ce matin à l’Eglise ND de Passy à la messe solennelle en l’honneur de l’Immaculée Conception. J’ai rarement vu autant de ferveur, ce beauté, de recueillement. Et sur le soir de ma vie, je rends grâce à mon créateur qui m’a donné à voir un peu du Royaume.

(c) J’ai une pensée émue, aimante et particulière pour cette maman marocaine qui travaille au Lycée saint Jean de Passy, et qui me disait sa joie de voir que l’on y fêtait Maria (ce sont ses propres mots), que l’on s’apprêtait à fêter Noël et que cette atmosphère d’attente festive la comblait. Je la bénis abondamment pour sa gentillesse, son sourire et sa véritable charité.

(d) Je remercie (non le mot est trop faible, mais je ne sais lequel utiliser) Théobald qui, avec une maturité incroyable, a eu l’audace de me dire des choses très importantes, qui me concernent personnellement et profondément. Il était inspiré, sans aucun doute par l’Esprit Saint. Et il m’a poussé à prendre une décision qui apportera la paix et la joie à mon entourage proche.

(e) Et que dire aussi de François, de César, d'Adrien, d'Alexandre (qui se sont précipités ce matin, pour me donner l'accolade) ou des treize jeunes filles (que j'ai rencontré pour la première fois ce matin, lors de la première catéchèse), de Pierre qui servait à l'autel ce matin, et de tous les autres que j'oublie : joie, joie et joie, de les voir pleins de vie, de projets, de générosité et, figurez-vous, d'attention.

Je vais vous dire, chers lecteurs, en ces temps difficiles, et plus que jamais, j’ai la certitude que de grandes choses sont en train de mûrir dans l’ombre, sans faire de bruit et que l’Agneau est vraiment vainqueur.




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