vendredi 2 février 2018

01er février 2018. Note brève : Un berbère écrit à une berbère

Cette Lettre a été publiée le 29 août 2011 par Riposte Laïque. Source vérifiée. J’ai hésité à la publier, mais une récente rencontre avec un kabyle, serveur dans un restaurant de la Place Saint André des Arts, un homme délicieux et fin, m’a déterminé à vous faire en part car elle contient des éléments historiques inconnus des Occidentaux et qui remontent à la mémoire du peuple kabyle.

"Lettre ouverte à la sénatrice socialiste Bariza Khiari (à l’époque, août 2011, Vice-présidente du Sénat) qui ose parler d’un bon islam !!!

Tout d’abord, excusez mon audace, car j’ai beaucoup hésité avant de vous écrire, pour soulever le problème de l’Islam et pour répondre aux déclarations que vous avez faites sur la chaîne de télévision parlementaire.
En effet, vous avez dit qu’il y a une grande différence entre votre Islam et celui qui fait débat actuellement à travers le monde.
Sachez Madame la Sénatrice, que je ne partage pas votre point de vue. Je crois savoir, si mes sources sont fiables, que vous avez les mêmes origines que moi : berbères.
Eh bien, ouvrons les manuels d’histoire.
L’Islam s’est propagé en Afrique du nord par l’épée et il a soumis nos ancêtres communs par la terreur, en appliquant à la lettre le Djihad. Sinon, comment expliquer que Okba le conquérant était devenu le libérateur et Koceyla, le patriote, était devenu l’ennemi de son propre pays, passant aux oubliettes de l’histoire ? Qui se souvient du prince Koceyla en Algérie ? 
Personne, parce qu’il était Chrétien !
Mais une ville du sud algérien porte le nom d’Okba pour le glorifier. Qui dit mieux ?
Ce " valeureux " chef musulman Okba, pour mieux humilier et rabaisser plus bas que terre nos ancêtres amazighs, à son retour dans son pays, emmena dans ses bagages 25.000 adolescentes berbères comme butin de guerre, séquestrées au cours de ses razzias qui furent vendues comme esclaves sexuelles sur les marchés de Damas. Et j’en passe mais sans oublier la diabolisation bien orchestrée de la Reine Kahina, par les envahisseurs de la Numibie qui perdure jusqu’à nos jours.
Quant au Coran, c’est l’auberge espagnole, on peut y faire le marché à la carte, suivant le goût et l’odeur du moment. La religion islamique est une vraie lessiveuse des esprits…
Evoquons le sort réservé à la femme en Islam et commençons par Mahomet, lui-même, ne s’est-il pas marié avec Aïcha, la gamine de neuf ans, alors qu’il en avait cinquante-deux ou cinquante-trois ? N’avait-il pas pris comme épouse Zineb, la femme de son fils adoptif Zaïd, après l’avoir contraint à se séparer d’elle, par un verset coranique ? Et combien d’épouses et de femmes esclaves, avait-il possédé durant sa vie ?
C’est une question que je me pose et que je vous pose et j’attendrai votre réponse pour aérer mon esprit embrouillé. Quant au statut de la femme, l’Islam a scellé son sort depuis 14 siècles.
Il n’y a qu’à voir ce que les versets coraniques ordonnent en ce qui concerne le témoignage, l’héritage, la polygamie, le mariage, le divorce à son sujet…
N’est-il pas écrit dans le Coran : «Les hommes sont supérieurs aux femmes parce que Allah leur a octroyé la supériorité sur elles. Par conséquent, il donne aux hommes le double de ce qu’il donne aux femmes. Les maris qui souffriront de la désobéissance de leurs femmes, peuvent les châtier : abandonner leur lit et même les frapper. Il n’a pas été légué à l’homme pire calamité que la femme».
Arrêtons de nous voiler la face et de radoter que c’est un complot ourdi par nos ennemis que nous avons appris à ânonner haut et fort pour dédouaner l’Islam de la situation d’infériorité qu’il a infligé à nos mères, à nos épouses, à nos sœurs et à nos filles depuis 14 siècles. mais pour ma part, je crois que nous parlons de l’Islam sans connaître sa matrice, la bédouinité.
Je pourrai soulever d’autres questions qui fâchent, à l’exemple de l’esclavage qui est codifié par l’ Islam, le sort des juifs et des chrétiens qui deviennent des dhimmis. Quant au sort du renégat, il est vite expédié car il est du devoir de chaque musulman de lui couper la tête. On devient musulman par héritage et pour l’éternité…
Où sont passés les droits de l’homme et où est passée la liberté de conscience, de confession en territoires islamiques dont se gargarisent les intellectuels musulmans confortablement installés en Occident, terre par excellence des Infidèles, qui squattent à longueur d’année certains plateaux de chaînes de télévisions avec la complicité des journalistes en quête d’audimat ? 
Mais moi, j’ai des trous de mémoire, excusez-moi, j’ai oublié qu’il y a une vraie douceur de vivre en terre Chrétienne mille fois mieux qu’à la Mecque. Alors de grâce, ces censeurs de conscience qui croient dur comme fer que l’Islam est humaniste, pourquoi s’accrochent-ils contre vents et marrées à demeurer en Occident alors qu’ils seraient mieux lotis en terre d’Islam pour adorer Allah en toute quiétude sans qu’ils soient gênés par le comportement immoral des Occidentaux comme ils ne cessent de le radoter, aux pays du porc et du vin ?
Quant à moi, je les invite à me rejoindre dans l’enfer de l’arabo-catastrophisme, je les y attendrai avec du lait et des dattes tout en leur souhaitant la bienvenue au club des damnés de la terre car de Tanger jusqu’à Djakarta je n’aperçois qu’aliénation culturelle, haine, sous-développement, misère et désolation.
J’arrête de divaguer mais pas avant de vous avoir dit, Madame la Sénatrice, que la femme n’a pas le droit de fouler le paradis où elle sera remplacée par les houris. Heureux le musulman qui accédera au ferdaous le jour du jugement dernier car il aura à sa disposition soixante-douze houris et des rivières de vin (verset coranique).
Et je vous défie de m’apporter les arguments contraires.
Arrêtez de faire de la manipulation car tôt ou tard la vérité éclatera et les Français de gauche découvriront le vrai visage de cette religion basée sur les mensonges, l’exclusion et la barbarie quand ils seront devenus des dhimmis mais ce jour-là, il sera trop tard.
Veuillez agréer, Madame la Sénatrice, l’expression de ma haute considération.

Hamdane Ammar"




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