samedi 10 février 2018

10 février 2018. Nouvelles de la Dissidence. L'islam, en grand péril ? Ou l'islam grand péril pour nous ?

Et toujours Jean-Jacques WALTER.
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Rien n’est plus facile que de prêcher la vérité. Le miracle c’est de la faire aimer.
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1. LA CITATION DU JOUR.
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"L’islam interdit à tout musulman de discuter religion avec un non musulman, proscrit la critique académique du Coran, et considère la théologie et l’histoire de l’islam comme auto-référente : pour comprendre et interpréter un passage du Coran, connaître l’histoire de MAHOMET et de l’islam, il ne faut utiliser qu’un autre passage du Coran, ou des hadiths, ou d’autres textes de la théologie musulmane. Il est strictement interdit de faire usage de textes non musulmans. Non seulement les croyants musulmans, mais aussi bien des islamologues occidentaux ont respecté ces restrictions, ces derniers par autocensure."
In
Jean-Jacques WALTER.
Le Coran révélé par la théorie des codes.
Studia arabica XXII. Page 87.
Éditions de Paris, Versailles, 2014. (Livre distribué par la librairie Téqui, 8 rue de Mézières, Paris.)
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2. COMMENTAIRES.
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L’intérêt de l’approche de Jean-Jacques WALTER est évident. Sa seule référence, quand il s’agit de détecter l’intervention de divers auteurs dans la rédaction du Coran, est le Coran lui-même. Il obéit à la règle de l’auto-référence. On ne saurait lui faire grief de regrouper les versets et les sourates en composantes stylistiques présumées, puisque les théologiens musulmans eux-mêmes font appel à des passages marqués par leur contenu en invoquant celui-ci. Il en résulte que les conclusions que Jean-Jacques WALTER émet sont fondées sur le Coran lui-même, et, quand il s’agit de datation des versets, aux sources musulmanes vérifiées.
Il apparaît donc que l’islam est placé devant un dilemme qui engage son avenir. Ou bien il renonce à la thèse du Coran incréé, et à celle des versets abrogeants et abrogés (ce qui a valu à un soufi égyptien la mort par pendaison pour apostasie, pour l'avoir préconisé !) ce qui n’ôte rien, pour les fidèles de MAHOMET, au caractère possiblement révélé du texte, et il devient possible de dialoguer avec ses représentants, ou bien il maintient ces thèses et dès lors la discussion est impossible et le dialogue inutile.
Personnellement, je refuserai toujours de tomber dans une détestation irraisonnée de l’islam. Bien entendu, ma raison me dit que cette religion trouve sa source dans la secte des judéo-nazaréens et qu’elle s’est durcie, pour des raisons politiques, vers le IXe siècle. Mais je constate qu’elle attire des centaines d’adeptes de par le monde, et que ces adeptes ne connaissent pas forcément les détails que nous expose Jean-Jacques WALTER. Nous qui les connaissons grâce à lui et à d’autres, nous pouvons les leur faire connaître, sans prosélytisme mais avec la tranquille assurance de leur vérité et de leur pertinence.
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3. REVUE DE PRESSE PAS CORRECTE.
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Casus belli si la chose se fait !

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Une maladie dont notre malheureuse patrie ne se remet pas.

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Hillary, Barak et leurs complices étaient prêts à tout !

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Et voilà pourquoi on déteste TRUMP et l’on diffuse des mensonges, des insultes et des quolibets sur sa personne.

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Un texte superbe de Jean-Paul II.


Par mon engagement dans la catéchèse des jeunes gens et jeunes filles, je sais d’expérience que nombre d’entre eux vivent l’exigence de la chasteté et comprennent fort bien les enjeux de la sexualité responsable. Ils sont des modèles et des exemples. J’en ai eu encore la preuve hier soir, avec le témoignage donné par une jeune interne en médecine à nos jeunes de l’aumônerie de l’enseignement public des lycées CB et JdLF. J'ajoute que ces jeunes sont comme les autres : les garçons regardent les filles et les filles les garçons, mais pas avec les yeux du monde ni celui du Monde ni celui de Libération.
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Cette femme aurait, elle aussi, condamné Antigone en léchant les pieds de l’ignoble Créon.

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Présents partout !

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Droits de l’homme et islam.


Je reviendrai sur ce point qui mérite sans doute plus de nuances que n’en donne le très court résumé de ce livre.
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